J’écris des couplets orphelins... j’suis hors de moi (orphelin, ouais) Dès lors qu’j’m’émeus, j’ai tort je crois, quand j’me mens j’me porte bien (j’ai pas à m’plaindre) J’suis plus trop l’même, j’m’aime plus depuis qu’j’les connais mieux (j’les connais) Putain être heureux c’est onéreux j’lâche pas faut l’coffre plein (c’est trop cher) J’ai peur d’l’abandon mais j’le vis toujours pas trop mal, hein (tranquille) Confiance qu’en moi et mes écarts et ça marche pas ouf, pas trop ça, hein Chaque fois qu’j’me renferme j’me dis qu’ils sont tous pas trop là, hein (qui ça ?) C’est bizarre c’est les mêmes qui m’disent “Wex t’es chelou, pas normal, hein” C’était l’argent avant l’reste j’crois qu’l’argent m’hypnotise Nan j’ai grandi il m’faut plus ! Mais j’peux pas faire l’hypocrite (ah nan) C’était l’argent avant l’reste j’crois qu’l’argent m’hypnotise Mais j’ai grandi il m’faut plus ! Donc c’est l’argent avant l’reste [depitch] (cash) Et toi, qu’est-ce que tu serais devenu sans les si jamais ? (T’es qui) J’ai les mêmes doutes qu’avant... mais juste moins d’temps pour eux J’me suis tu j’voulais pas qu’tu l’saches mais si j’l’ai dit pareil (c’est la même) Pas grave, on voit en grand ou mieux être dans leur camp autant mourir J’prends plus ça trop à cœur, crois bien qu’j’ai déçu Scarface Des fois j’me vesqui a mort, ou j’pense a c’qui serait à refaire Raekwon sur la route... 9-18-SMIC, wesh parfait Guette l’inspi : prochain couplet dans 10 piges, t’es pas prêt Les mêmes réflexes, j’regarde ses fesse j’tape sur le snare J’lui mens à demi mots, j’mens plus a plus d’deux verres (j’te l’dis honnêtement) Trouver l’bon itinéraire, c’est dur d’y croire moins dur de s’perdre J’ai tous mis dans des 16 c’est mort... j’veux plus l’refaire Y avait moyen y avait la place c’est sûr mais j’me dévoue trop tard J’ai annoncé l’plan et ils m’ont tous cru, j’touche du bois Jamais plus loin d’un rêve que quand j’le touche du bout du doigt J’ai annoncé l’plan et ils y ont tous cru, ouais tous sauf moi Pardonnez-moi mon père j’ai péché, sinon j’serais peut-être mort à l’intérieur Pardonnez-moi mon père j’ai péché, sinon j’serais peut-être mort à l’intérieur Pardonnez-moi mon père mais j’ai péché (péché), été à bout d’souffle Pardonnez-moi mon père mais j’ai péché, pensais mourir tout c-

Nan Nan, nan Nan, nan, nan, nan Quoi ? Nan, nan, nan, nan Qu’est-ce qu’il dit ? Nan J’ai plus peur (peur) Il a plus peur Nan, nan, nan, nan De quoi ? Hein ? Qu’est-ce qu’il dit ? J’ai plus peur... Mais peur de quoi ? Nan, j’ai plus peur de perdre à part du temps peut-être C’est l’calme avant l’éclaircît, l’calme avant la pense pleine (ah) Pense-bête : ça presage du moins pire quand j’peine Tes rappeurs ils sont durs mais tes rappeurs ils prennent du tranxene J’suis dans ma meilleure mauvaise passe et j’vais m’refaire c’est tout (yes) M’en bats les couilles qu’tu captes m’en bats les couilles de paraître p’t être louche (R.A.F.) Plus que 4 jours de taf... j’sens déjà que ma paupière est lourde Hirondelles, huissiers, m’en bats les couilles de ta première écoute J’m’efforce d’être sympa mais pas d’vous aimer tous Et tout c’temps qu’vous m’volez faudra l’payer double (tout ce temps... cash) J’ai mes forces, mes qualités, mes forces… et mes doutes J’m’efforce d’être sympa des fois d’vous aimer tous (yes) J’parle de femmes et d’argents, j’veux plus de femmes plus d’argents Mais j’ai dit non à des femmes et d’l’argent et juste par éthique Les agios m’éloignent des îles et elles m’parlent plus maintenant (nan) J’suis un peu déçu comme quand j’ai écouté jeune coupable et libre (oups) C’est pas l’rap qui m’a soigné, t’façon j’voulais pas qu’on m’soigne On s’parle plus, tant mieux, même si c’était pas contre toi C’est pas l’rap qui m’a soigné, t’façon j’voulais pas qu’on m’soigne On s’parle plus, tant mieux, même si c’était pas contre toi C'est ma meilleure mauvaise passe, donc ça va, tranquille (tranquille) Il m’faut 6 mois pour un 16 mes excuses à la cantine (roh-lala) Mais des fois j'me branle j’avoue, d'autres fois j'ai pas d'temps libre (ok) Faut dire qu’J’pense pas a gratter, quand j’fais des pas d’danse ivre J’repense au moi d’avant et j’suis pas sûr qu’il m’pardonne Faut p’t être juste que j’y crois et j’y crois presque (hein) Les doigts s’crispent quand une boîte de Paris parle de ma daronne (ah) J’recherche ma Sarah Cameron, uh, arobase Wextun (Sarah) Tout paraît fade, tout paraît vide (c’est déjà pas mal) Tout allait mal, tout allait pire (pire) Tout paraît fade, tout paraît vide (vide, vide, vide) Tout allait mal, tout allait pire (pire) C’est pas l’rap qui m’a soigné, t’façon j’voulais pas qu’on m’soigne On s’parle plus, tant mieux, même si c’était pas contre toi C’est pas l’rap qui m’a soigné, t’façon j’voulais pas qu’on m’soigne M’en bats les couilles d’être soigné j’te jure ça va J’m’évade mais j’sais pas c’qu’il s’passera à l’usure J’vais rider de nuit, deux roues, j’attends qu’la lune m’avale J’m’éparpille, mais j’sais pas c’qu’il s’passera à l’usure

On dit le café énerve... un jour on s’aperçoit qu’il calme Ce qui fait du mal, aujourd’hui fait du bien Je vais vous raconter une histoire vraie de mon village Putain la flemme… faut s’fondre dans la masse C’est un traquenard sa mère : ils sortent tous, genre, d’Assas (ohlala) Il m’faut un verre, une clope et surtout faut pas que j’tousse (tousse) Une blague sur mon hoodie, des barres le boug Direction balcon, pas de tabac dans la salle Ça parle série Netflix, vacances cap d’agde (rah ouais) Connaissent pas the wire mais La Casa, attends la base En vrai sont pas méchants, on parle de rien on parle de tout J’suis venu avec un pote qui rentre avec la votre j’crois (il m’semble, hein) La lumière d’un portable, un pull moutarde me coupe Je dérange mais pas trop ? J’crois qu’t’avais la parole, toi ? C’est vrai un Channel ? Il veut dire quoi le flocage ? Elle boit très rarement mais dans les grandes fêtes faut bien Alors dans deux semaines elle boira au Palais de Tokyo Le temps passe, plus de dernier d’trom et le premier est trop loin On ira prendre un Vélib’ de parfait bobo L’alcool monte, y’a pas deux heures j’étais au taf J’ai deux verres, peu d’temps, la clef c’est les dosages J’paie pas à l’intérieur faut être au max dare-dare (wow) Un brin d’vélo on y est j’ai l’estomac patraque J’reconnais des cheveux bruns dans la file d’attente J’hallucine, pas de doute, faut qu’j’me vide la tête J’ellipse mais toujours la même fille m’approche Elle me check, m’appelle frère et me bise la tempe J’abandonne ma troupe, on s’re plus tard J’lui propose un verre, un verre qu’elle refuse pas J’la perds, j’erre, le temps compte plus vraiment Je fais d’la merde puis la musique n’est plus sèchement Nos regards s’recroisent par hasard en bas des marches Je sais qu’c’est cliché mais c’est même pas des cracks Elle m’dit : Toi + moi, after a trois rues d’là T’iras pas en vélo sinon j’te calcule pas Réveil : bisou timide Elle veut que je bouge me dit que ses sœurs viennent toutes ici On connaît pas nos noms et j’ai l’odeur d’ivresse On peut s’revoir mais faudra faire mieux, Wilhelm Deux semaines avant la paye, ouais, ça part mal Mais j’ai pas assez c’soir pour graille et boire pas grave J’ai v’là les paquets d’ramen, elle est pas belle l’année ? Ma paume, ta belle trachée, l’esprit s’allège, s’aère Salut ! Ah, salut, qu’est-ce que tu... Je passais dans le coin Dans le coin ? Tu m’invites pas à entrer ? Si, si, si, ouais c’est juste que j’étais, euh Ah mais tu chantes ? J’réponds qu’c’est pour un pote, et puis j’enchaîne (non c’est pas moi, mais sinon euh) Je vous jure elle avait d’beaux yeux quand j’lui mentais Elle s’en doute je sais mais c’est pas très grave, ça On parle de Marciano, et d’Agnès Varda Plus de temps ou de taf, il reste qu’elle, moi et Sade Un moment d’vie, une brève échappée Tout est pas très vrai j’l’admets mais fallait du rêve Une belle histoire, ouais ça aurait pu l’être (ouais ça aurait pu)

J’me voile la face c’est pas pour moi les crises de nerfs (sûrement pas) Mais si j’me mens tous les jours, tous les soirs qu’est ce tu veux qu’j’écrive de vrai (j’sais pas, moi) Qu’j’écrive de beau, j’sais pas genre j’étripe le verbe (hein ?) J’fais pas dans les crises d’angoisses, j’me renferme et j’file, bah ouais J’ai l’alcool drôle ou bad quand j’y pense c’est tellement mieux qu’le rap (c’est un peu mieux) Et même toi, elles vont t’servir à quoi mes petites défaites ? (t’es bizarre, gros, t’es curieux) J’étais au fond ou plus bas j’me suis dit j’gratte tout c’que j’garde Elle a pas dit qu’c’était beau elle a dit qu’c’était triste, gênée S’mettre a nu, cacher des macchabés sous des parapluies J’sais qu’si j’mens pas elle m’parlera plus… C’est ça l’avenir ? Chérie, j’ai pas d’capital en plus si l’courant grimpe j’suis à la rue (c’est cher) Et j’attends juste que Manger On McNichols baisse à l’argus Quand ça allait pas tu me manquais, je t’aurais pas montré ma mine abattu Tu sais, l’autre fois j’ai craqué, j’espère que tu l’as pas vu J’ai eu quelques doutes mais si t’écoutes tu peux en rire Quand ça allait pas tu m’manquais… j’aurais voulu t’mentir Quand ça va pas j’le tais et basta (basta) j’en fais plus des rap Parce qu’Après l’amnésie faut pas qu’j’me souvienne que j’étais vulnérable (j’ai oublié) C’est vrai c’est pas terrible c’est peut-être un peu puéril Quand ça va pas j’le tais et basta (basta) j’en fais plus des rimes Je ferai pas de refrain connard, non j’suis comme Push ou Nakk J’ai vaincu l’smic c’est nickel mais les agios toujours ap Il va m’falloir un aller simple, d’ici là c’est tout pour l’or J’crois qu’le texte est maladroit et au fond j’crois qu’j’m’en bats les reins J’existe deux jours sur sept parfois un peu moins par excès (ohlala) J’remets trop à demain j’exagère mais j’suis loin d’paresser Paraîtrait qu’on fait aller qu’on s’efforce même quand ça fait pas rêver J’en suis pas amer des songes que j’ai pas même caressés (non, tranquille) Y avait pas assez pour tout un son, mais m’reste des rimes sur le grill J’aime bien l’micro juste j’pense pas qu’il m’soit bénéfique, tu piges J’ai des mauvaise habitude, j’aime pas être triste : plume vide Genre si ça allait pas j’sais bien qu’j’aurais écrit plus vite

Est-ce qu’on a mal aux jambes, ici ? Je suis en pleine forme Tu crois qu’on dérange la bourgeoisie ? Ahah ! J’aimais bien l’rap mais l’envie c’est plus la même (plus trop là) J’ai perdu mes brouillons le reste ça pue la merde (merde) J’veux marquer l’coup, ça m’fera pas d’grosse peine mais (peine) Gros j’ai plus d’inspi, que ces quelques mots pêle-mêle (arh) Mes dernières rimes sont p’t être plus toutes justes (quasiment) D’ailleurs les prochaines lignes sont pas du tout sûres (sûres) J’essaye d’abord de m’convaincre quand on parle d’avenir (j’sais pas moi) J’dois faire mieux mais mes obsessions vont pas partir (toujours là) Je mange moins d’nouilles, plus de pâtes Barilla (Barilla) Je rappe plus des masses, ouais c’était peut-être pas vivable (pas vivable) Mais ce truc, ça faisait pas juste passer le temps, tu sais Ah t’as des potes qui posent ? On va changer d’sujet (quelle horreur) Refrain noyé dans des idées en vrac (vrac) Mes idées bizarres restent glissées dans le sac (sac) Quelques belles taches d’encre tout du moins (moins) M’en bats les couilles du... J’m’en bats les couilles du refrain (refrain) Refrain noyé dans des idées en vrac (vrac) Mes idées bizarres restent glissées dans le sac (sac) Quelques belles taches d’encre tout du moins (tout du moins-in-in) J’m’en bats les couilles du refrain (du refrain) Désolé, j’avais promis d’écrire j’ai été vivre (ah ouais) Mais tu veux qu’on parle de quoi ? D’la bonbonne et des litres ? Quand j’suis désinhibé parfois c’est féerique (féérique) A part ça, les Air Force monte j’vais consommer éthique (raté) C’est rien, juste quelques vers pour maquiller le déni (déni) Le temps passe pas sur de trouver l’reste bandant (anh) L’autre jour j’ai dit adieux à mes derniers délires Ceux qui suivaient les croix sur mes rêves d’enfant (anh) J’aime les MILF avec des bas-résilles, les films avec des archétypes Mais faut grandir, le temps passe… parait-il (à ce qu’il parait) Bref. A ceux qui m’écoutent mal, bah j’allais dire (anh) Qu’la dernière fois qu’j’ai pris l’mic, ça m’a fait rire Qui va prendre sa Batista Bomb, ici ? Ahah ! Refrain noyé dans des idées en vrac (vrac) Mes idées bizarres restent glissées dans le sac (sac) Quelques belles taches d’encre tout du moins (moins) M’en bats les couilles du... J’m’en bats les couilles du refrain (refrain) Refrain noyé dans des idées en vrac (vrac) Mes idées bizarres restent glissées dans le sac (sac) Quelques belles taches d’encre tout du moins (tout du moins-in-in) J’m’en bats les couilles du refrain (refrain, du refrain) Jamais vraiment commencé -ce que c’est fini pour de bon ? (pour de bon) La route était cool et il m’reste plus qu’assez (qu’assez) J’suis à page blanche + 4 la c’est plus pour le monde (pour le monde) J’ai pas battu mes démons, ils ont du s’lasser (se lasser)

Deux trois rimes en stock, ok tout roule. Bon, J’ai attendu qu’la faucheuse passe, j’en ai toujours honte Un peu perdu, perché, rêve de candeur abstraite Parfois peur d’être seul, plus souvent de n’pas l’être Tout est pas si noir c’est qu’la fumée ambiante Les gens changent : je pense pas qu’il faille s’y faire à force (nan, nan) Arbore un masque de Zavatta, ça peut pas durer dans l’temps (ahah) Bien sûr que ça va, juste que l’hiver approche (ouais, ça va, ouais) Ils trouvent ça cool ils comprennent pas c’que j’dis Puis j’mens quand ils demandent : elle parlait de quoi c’te ligne ? (Hein) Pas trop à l’aise avec les aide moi de-spee (quoi) J’aime pas l’dire, y répondre c’est... j’crois que... Oui Photos souvenirs, j’aspire à plus qu’à l’oublie Vis au jour le jour, toujours pas fait ce que je peux Et j’garde espoir, ouais, ouais, jusqu’à mourir ! Faut plus d’un couplet pour apprendre à être heureux Y a bien un moment où faudra que je fasse un refrain Mais j’ai pas envie de faire de refrain J’ai pas envie d’écrire un refrain, j’ai pas envie de poser un refrain, j’ai pas envie de faire de mélodie, ça me casse les couilles C’est plus cool quand c’est pas cathartique Faudra dire que le temps fait de meilleurs cataplasmes Amour et haine, hein : même cataracte Verre à peu près plein ou son duplicata triste Qu’à cela ne tienne, quelques lignes sous la gabardine Pas les idées fixes, mais reste cantonné dur. Je Pense au challenge, et tant pis pour le gabarit (tant pis) J’vous aime mais j’suis d’trop quand on est plus d’deux (désolé) Et j’me suis senti comme Stewie quand Brian part trop tôt Me suis perdu, mais j’écris 2, 3 phases par hasard (quoi) S43, c’est Palavas-trop-de-flow Pas signé de contrat mais j’ai donné ma palabra, poto (ma parole) J’rate mes pas d’géants j’fais pas d’gros progrès J’en dis trop peut-être trop, seront comme une tombe poreuse Pas grave, ça va pas mal, après tout c’est qu’le jeu Fallait plus d’un son pour accepter d’être heureux

Deux trois rimes en stock, ok tout roule. Bon, J’ai attendu qu’la faucheuse passe, j’en ai toujours honte Honte Un peu perdu, perché, rêve de candeur abstraite Parfois peur d’être seul, plus souvent de n’ Parfois peur d’être seul, plus souvent de n’pas l’être Pas l’être Tout est pas si noir c’est qu’la fumée ambiante Les gens changent : je pense pas qu’il faille s’y faire à force Arbore un masque de Zavatta, Zavatta Ça peut pas durer dans l’temps (ahah) Bien sûr que ça va, juste que l’hiver approche Ils trouvent ça cool ils comprennent pas c’que j’dis Puis j’mens quand ils demandent Puis j’mens quand ils demandent : elle parlait de quoi c’te ligne ? (Hein) Pas trop à l’aise avec les aide moi de-spee J’aime pas l’dire, y répondre c’est... j’crois que... Oui Photos souvenirs, j’aspire à plus qu’à l’oublie Vis au jour le jour, toujours pas fait ce que je peux Et j’garde espoir, ouais, ouais, jusqu’à mourir ! Faut plus d’un couplet pour apprendre à être heureux Bon, moi je suis pas dans le sensane-sense-sen-sentationnel Y a bien un moment où faudra que je fasse un refrain Mais j’ai pas envie de faire de refrain J’ai pas envie d’écrire un refrain, j’ai pas envie de poser un refrain, j’ai pas envie de faire de mélodie, ça me casse les couilles C’est plus cool quand c’est pas cathartique Faudra C’est plus cool quand c’est pas cathartique Faudra C’est plus cool quand c’est, c’est plus cool quand c’est C’est plus cool quand c’est pas cathartique Faudra dire que le temps fait de meilleurs cataplasmes Amour et haine, hein : même cataracte Verre à peu près plein ou son duplicata triste Qu’à cela ne tienne, quelques lignes sous la gabardine Pas les idées fixes, mais reste cantonné dur. Je Pense au challenge, et tant pis pour le gabarit Gabarit J’vous aime mais J’vous aime mais J’vous aime mais J’vous aime mais j’suis d’trop quand on est plus d’deux Et j’me suis senti comme Stewie quand Brian part trop tôt Me suis perdu, mais j’écris 2, 3 phases par hasard S43, c’est Palavas-trop-de-flow Pas signé de contrat -gné d’contrat mais j’ai donné ma palabra, poto (ma parole) J’rate mes pas d’géants j’fais pas d’gros progrès J’en dis trop peut-être trop, seront comme une tombe poreuse Pas grave, ça va pas mal, après tout c’est qu’le C’est qu’le jeu Fallait plus d’un son pour accepter d’être D’être heureux